jeudi 26 janvier 2012

Finish ör Die


10 jeux qu'on doit ne pas arriver à finir au moins une fois dans sa vie

Je m'occupe régulièrement d'une chronique rétro-gaming dans le fanzine Bad Ideas. On m'a demandé pour ce numéro de faire un top 10 des fins de jeux ... Alors on peut pas faire moins exhaustif: ça va être hyper rétro et basé uniquement sur mon expérience perso. Du gonzo-gaming quoi.
Dessin @ Hyde Omega
 
FINAL FANTASY 7 (Playstation)
Clairement l’un des meilleurs jeux de l’histoire et je me souviens surtout de cet écran après la cinématique de fin. Un genre de bilan. « Vous avez fini le jeu en 112 h ». 1-1-2 heures ??? No kidding. Get a life, moi-même.


TEENAGE MUTANT NINJA TURTLES (NES)
Le cauchemar de toute une génération. Le mec qui a mis la fin sur Youtube a brisé un tabou du gaming. Merci à lui.


 
TETRIS (Game Boy)
Sans rire les mecs ? Encore un niveau ? Ca me rappelle Wayne’s World, où Noé Vanderhoff parle de Xantar, un jeu infinissable pour que les kids allongent les billets dans ses salles d’arcade. Tétris est aussi touché du syndrome Questions pour un champion : tu galères pendant des plombes et à la fin, tu as quoi ? Une fusée plus ou moins grosse qui décolle mollement.
RICK DANGEROUS 2 (Amstrad CPC)
C’était un très bon jeu à l’époque. Mais surtout, c’est la première fois que j’apprenais qu’un jeu avait une ... comment dire ... fin.


DEMOLITION DERBY (Atari ST)
La nemesis du précédent. Tu cramais des caisses et n’en avais rien à tamponner de où ça pouvait mener. D’ailleurs comment imaginer que ce jeu pourrait avoir une fin ?

 
MANIAC MANSION (Atari ST)
On en a déjà parlé >> ici. Le premier jeu à avoir des fins alternatives selon les personnages que tu choisissais. Le but n’était pas de le finir, mais bien de le finir avec tout le monde.
L’enchaînement RESIDENT EVIL / METAL GEAR SOLID (Playstation)
Le virus et le vaccin. D’un côté, exploser des têtes au fusil à pompe, de l’autre, la jouer discret et finir un jeu sans tirer un seul coup de feu. Pure schizophrénie pixellisée.

 
GHOSTS’N GOBLINS (NES)
Il y a un blog qui répertorie les écrans techniquement infaisables. A l’époque, ton chevalier avait difficilement 3 choix de direction et il envoyait ses lances à une fréquence modérée. Alors comment battre ces 17 goules  sans espérer un lag salvateur ?



DRAGON’S LAIR (Arcade)
Dans les salles d’arcade, ce jeu était toujours au centre. La star du joystick. C’était en fait un dessin animé Disney interactif. Il fallait appuyer exactement au bon moment, et tu mourrais donc toutes les 5 secondes. Comme dit ce mec sur Youtube : « never finished it and it cost me a shit load. »
 

N’importe quel GUITAR HERO avec un kid (Playstation 2)
Holy shit ! Jouer à ce jeu avec un kid peut mener à de la pure misanthropie. Tu prends ton pied sur un bon vieux classic rock et le gamin prend la guitare et explose ton score. En ne bougeant que les doigts ... regard vide ... l’émotion d’un répliquant. Une pub parfaite pour la contraception.




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